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dimanche 26 avril 2015

Les Larmes Rouges #3 - Quintessence





GENRE
: Fantastique / Horreur / Romance
ÉDITION : J'ai lu
COLLECTION : Darklight
NOMBRES DE PAGES : 635
PARUTION : 25 mars 2015
LANGUE D'ORIGINE : Français


CHRONIQUES PRECEDENTES
http://skoldasybooks.blogspot.fr/2014/04/les-larmes-rouges-1-reminiscences.html  http://skoldasybooks.blogspot.fr/2014/07/les-larmes-rouges-2-deliquescences.html 











" - La clé du pouvoir se cache dans le sang -

Alors que la relation d'Henri et Cornélia connaissait enfin une accalmie après les épreuves, l'arrivée surprise d'un fantôme du passé fait voler en éclats toutes leurs certitudes. Ces retrouvailles peuvent-elles être encore plus dangereuses que le Roi Sombre lui-même ? "












Voici donc le dernier tome de la saga "Les Larmes Rouges". Je pense que cette histoire ne pouvait pas mieux finir et on obtient un roman parfait remplit de révélation fascinante.

Georgia Caldera nous offre avec "Quintessence" un roman bourré d'action du début à la fin. Que ce soit par l'action, les scènes de romance très touchante. Bref, elle arrive à nous toucher dans cette somptueuse histoire de vampires pas comme les autres.
On continue donc d'en apprendre davantage sur notre héroïne Cornélia qui dans ce tome-ci ose enfin prendre les devants et s'opposer encore plus face à son compagnon, Henri. Bien qu'encore une fois, elle se met encore en danger. Désormais plus puissante, elle continue de faire des songes, bien qu'ici il s'agisse de "cauchemars". A travers ses nouveaux rêves, elle se retrouve alors dans les souvenirs d'une personne qu'elle n'aurait jamais crue pouvoir exploiter. Il s'agit bien évidemment d'Avoriel, le roi sombre. C'est par ce biais que l'héroïne trouvera la réponse pour pouvoir l'anéantir.
Comme dans les tomes précédents, Georgia Caldera centre son roman sur un personnage en particulier. On avait commencé avec Cornélia puis Henri pour "enfin" finir sur Avoriel et découvrir sa vraie personnalité. On découvre alors l'origine de sa folie et ce qui a fait de lui ce roi cruel et sans sentiments... L'auteure rend alors son personnage plus humain et qui avait des sentiments. On comprend alors petit à petit ce qui l'a fait plongé dans les ténèbres. Au final, on ne peut pas vraiment le haïr. Personnellement, je reste mitigé sur lui puisque "Avel" n'a pas vraiment eu de chance et qu'il a agi par désespoir.
Henri dans ce tome-ci laisse définitivement parler son humanité. Il ose enfin dire ses sentiments à Cornélia avec tant de facilité ! Même cette dernière déclare enfin "nettement" ses sentiments à son compagnon. C'est un couple touchant qui ferait n'importe quoi pour sauver l'être aimé, d'ailleurs la jeune femme se montrera bien plus maligne que le prince des vampires lui-même !
Le second tome terminait donc sur la visite de quelqu'un qui au final n'est absolument pas celui que je m'attendais à voir ! On découvre alors enfin qui est Maxime et ce qui lui est arrivé...
Je suis assez sceptique au final sur ce personnage qui se trouve juste être un personnage secondaire et pas très exploité. Je pense que finalement sa présence n'était pas requise, puisqu'il s'agit simplement de mettre un peu plus de désordre dans la relation d'Henri et Cornélia. Cette partie de l'histoire ne m'a pas vraiment convaincu et je l'ai donc trouvé futile.
Mais le reste s'enchaîne avec beaucoup d'action d'un chapitre à un autre, à tel point que je n'ai pas pu m'arrêter dans ma lecture. Comme toujours le style d'écriture de Georgia Caldera est efficace et enrichi comme les précédents tomes !
En conclusion, ce fut une saga merveilleuse tant sur le point de l'écriture que le scénario très abouti que l'auteure nous a offert! Un univers gothique qui nous a fasciné et émerveillé ! Je n'ai qu'une chose à dire à l'auteure : Merci de nous avoir fait rêver à travers cette sublime romance vampirique !

" THE KING IS DEAD, LONG LIVE THE KING ! "

(en anglais ça fait plus classe winktongue)







GLOBALE : 10 / 10
ECRITURE : 10 / 10
SCENARIO : 10 / 10
PERSONNAGES : 10 / 10
SUSPENS : 10 / 10


COUP DE CŒUR!











#3 - Avril




#3 - Avril
  • Le manuscrit proscrit de Nur Jahan de Cécilia Correia


    Une quatrième de couverture qui m'a beaucoup interpellé et je suis toujours avide de découvrir de nouveaux auteurs français ! Je hâte de pouvoir l'entamer !


    #3 - Avril
  • Rose Morte #1 - La Floraison de Céline Landressie

    Encore une auteure française qui me tente avec cette saga que j'entends parler depuis un bon moment. Je pense que c'est le premier livre que je vais lire d'ailleurs !



    #3 - Avril
  •  Anita Blake #20 - Liste Noire de Laurell K.Hamilton

    Une saga qu'on ne présente plus bien que celle-ci devient médiocre au fil du temps, je ne peux pas m'empêcher de continuer à lire ses aventures. Quand la nostalgie nous tiens, on ne peut qu'espérer une amélioration...

samedi 11 avril 2015

Drek Carter #1 - Cupidon Mortel




GENRE : Urban Fantasy
ÉDITION : J'ai lu
NOMBRES DE PAGES : 317
PUBLIE EN : 25 février 2015
LANGUE D'ORIGINE : Français
 AUTEUR : Thomas Andrew










Originaire de Bordeaux, Thomas Andrew est enseignant.
Après s'être essayé à l'écriture de pièce de théâtre au lycée, il nous offre aujourd'hui son premier roman Cupidon Mortel (2015) de sa saga Drek Carter.






"J'ai eu beau tourner plusieurs fois la question dans tous les sens, je ne vois pas comment vous l'annoncer donc je ne vais pas y aller par quatre chemins : je suis un fantôme. Oui, c'est cela, un Casper qui hante les rues de New York.
Comment en suis-je arrivé là ? Eh bien, si une sombre histoire de meurtres, de sorciers, de vampires et de loups-garous ne vous effraie pas, laissez-moi vous raconter.
Tout commence le 14 février. Ironique, non ?
Le jour de ma mort.
Sérieusement...Qui parle de repos éternel? Certainement pas moi! "




 L’ensemble de ma lecture de « Cupidon Mortel » a été aux premiers abords drôle et innovateur. Mais au final, l’ensemble est une réelle déception !
Je fus attirée par la quatrième couverture qui nous annonce donc que le héros est un fantôme. Je trouvais cela très original à traiter, surtout dans le domaine de l’urban fantasy, et très enchantée de voir que c’est un homme qui écrit ce genre de roman. Vu qu’habituellement, ce sont des femmes qui écrivent dans ce genre de littérature.
Nous faisons donc la connaissance de Drek Carter, un jeune homme qui travaille en tant que médecin légiste auprès de la police New Yorkaise. C’est un homme charmant qui apparemment prend grand soin de son apparence et qui est doté d’une grande intelligence. Il fait également preuve de beaucoup d’humour tout le long du roman. Il a une vie banale et pourtant, il meurt brusquement. Pourquoi ? La question est alors traitée maladroitement pour laisser du suspens, mais il y a un moment, on ne croit plus vraiment aux faits que l’auteur tente de nous montrer.
Je trouve cela bien que ce soit un univers masculin, mais il y a beaucoup trop de faux pas pour moi. On entre brusquement dans un monde fantastique où l’auteur nous jette à la figure diverses races surnaturelles. Le lecteur se retrouve donc complètement perdu au milieu de tout ce fouillis.
Certes l’humour est très présent ce qui nous fait sourire, on retiendra d’ailleurs le fameux « boubou » qui n’est malheureusement qu’une reprise de Buffy…
D’ailleurs tout le long du roman, il y a beaucoup de références envers des films, séries et j’en passe ! Quelques-unes peuvent suffire, mais trop c’est trop ! Cela devient vite ennuyeux de tout ramener à d’autres fictions et on peut croire à une preuve de manque d’inspiration.
Tandis que notre petit héros est rempli des pires clichés contre les femmes qui prennent soin de leurs apparences par exemple. Les femmes peuvent prendre soin d’elle sans pour autant chercher des hommes riches… Et il en va de même pour ceux des ghettos, des concerts de rock, etc. Je trouve vraiment cela dommage de gâcher une histoire et de faire de son personnage, quelqu’un qui juge tout le monde autour de lui. Cela fait de lui un monsieur « parfait» dont j’ai vraiment en horreur. Et ne parlons pas de ce cher Tony qui se trouve être un flic plein de testostérone digne des films américains. Encore des clichés ? Et bien oui…L'auteur n'a eu aucune inspiration dans la création de son monde.
Le style d'écriture de Thomas Andrew est simple, peut-être trop... et l'utilisation constante de références aux films, séries ne l'aide malheureusement pas sur ce point. Bref, j'ai eu beaucoup de mal à m'immiscer dans l'histoire et elle m'a laissée un goût amer. Je ne pense pas lire la suite, car je n'ai vraiment pas aimé l'univers que l'auteur nous a montré, qui est malheureusement trop pauvre et trop de reprise d'autres auteurs qui on fait beaucoup mieux. 






GLOBALE : 5 / 10
ECRITURE : 6 / 10
SCENARIO : 5 / 10
PERSONNAGES : 3 / 10
SUSPENS : 4 / 10
HUMOUR : 7 / 10








mercredi 8 avril 2015

#2 - Mars


#2 - Mars

  • Les Larmes Rouges #3 - Quintessence de Georgia Caldera



    J'ai hâte de pouvoir connaître la fin de cette fabuleuse saga ! Bien que pour le moment la fac me prendre beaucoup trop de temps à mon goût... Lire des livres personnels devient un peu compliqué. *triste*