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lundi 29 mai 2017

Walking Dead #9 - Ceux qui restent



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GENRE : Horreur / Post-apocalypse
ÉDITION : Delcourt
NOMBRES DE PAGES : 139
PUBLIE EN : 2009 (USA)
DATE DE L’ÉDITION : 2009
LANGUE D'ORIGINE : Anglais
AUTEURS : Robert Kirkman et Charlie Adlard
TITRE ORIGINAL : Walking Dead #9 - Here We remain
TRADUCTEUR : Edmond Tourriol
PRIX : 14€95
 
 
 







" Seuls Rick et Carl, son fils, ont réchappé du massacre orchestré par le Gouverneur. Il leur faut désormais réapprendre à vivre avec la peur au ventre, chaque nouvelle rencontre pouvant être la dernière. La relative sécurité qu'ils avaient retrouvée au sein des murs du pénitencier n'est plus qu'un souvenir, et il revient désormais à Carl de soutenir son père, victime d'hallucinations de plus en préoccupantes. L'apocalypse a bien eu lieu... une deuxième fois ! "








Dans « Ceux qui restent », nous suivons le groupe de rescapés qui doit de nouveau tenter de survivre en dehors de la prison parmi les zombies. Bien des dangers attendent le clan de Rick Grimes.
Le tome huit nous a laissé un arrière-goût de cendres et de sang, depuis la destruction de la prison. Les survivants essaient de trouver un endroit pour reprendre des forces et continuer à vivre au sein de ce monde apocalyptique.

Dans ce tome, la première partie est très centrée sur Carl Grimes. Son père étant gravement blessé, le petit garçon va devoir s’adapter pour devenir indépendant et veiller à la survie de son père. Seulement, tout ne se passe pas réellement comme le jeune garçon l’a imaginé, lui qui rêve pourtant de liberté. Elle a un aspect bien morbide…

J’ai aimé avoir la vision d’un enfant qui a vu les pires horreurs depuis le premier tome. Carl a déjà bien grandi, surtout son caractère qui commence à s’affirmer petit à petit. En bien ou en mal ? Il garde cette innocence que Rick cherche depuis le début à protéger, mais la limite s’amincit aujourd’hui.
On retrouve également d’autres membres du groupe, mais je vous laisse le soin découvrir leurs mésaventures par vous-même. Je dirais simplement que Rick franchit un nouveau cap dans sa vie de « leader ». Les horreurs qu’il voit depuis le début commencent à l’atteindre à un aspect plus psychologique.

Nous apercevons à la fin du tome trois de nouveaux protagonistes qui vont venir mettre de l’ambiance au sein du groupe. Amis ou ennemis ? Il est encore plus difficile pour les survivants de faire confiance à des inconnus après le drame qu’ils ont vécu précédemment.

En conclusion, « Ceux qui restent » développe un peu plus le personnage de Carl Grimes. On découvre une nouvelle facette du caractère du petit garçon qui semble perdu après l’attaque de la prison, ayant perdu le peu de repères qu’il lui restait. La folie est un aspect également abordé dans ce tome. Bref, comme toujours « Walking Dead » est une très bonne saga !
 

GLOBALE: 9 / 10
DESSINS : 9 / 10
SCENARIO: 9 / 10
PERSONNAGES: 10 / 10
SUSPENS : 8 / 10




jeudi 25 mai 2017

Les adultes n'existent pas



 


 GENRE : Humour
ÉDITION : Delcourt
COLLECTION : Humour de rire
NOMBRES DE PAGES : 111
PUBLIE EN : 2016 (USA)
DATE DE L’ÉDITION : 26 avril 2017
LANGUE D'ORIGINE : Anglais
AUTEURS : Sarah Andersen
TITRE ORIGINAL : Adulthood is a myth
TRADUCTEUR : Margot Negroni
PRIX : 15€50

File:Sarah Andersen - Lucca Comics & Games 2016.jpg


SARAH ANDERSEN vit à Brooklyn.

Elle débute en publiant ses strips sur le web, via Facebook, Instagram, Tumblr en 2013, alors qu’elle étudie l’art au Maryland Institue College. Elle privilégie la publication de ces planches sur le web, afin de recueillir directement l’avis de ses lecteurs – ce qui l’aide à persévérer.
En 2016, les éditions Andrews McMeel, publie les aventures de Sarah en bande dessinée.








" A travers son personnage caustique, mignon et drôle, Sarah croque avec beaucoup de mordant les petits et grands tracas de sa vie. Ses flemmes, ses envies, son travail, sa touchante misanthropie ou encore ses truculentes pensées existentielles. Autrement dit, les difficultés de beaucoup de jeunes adultes d'aujourd'hui ! Une apparente légèreté pour des réflexions toujours en plein dans le mille. "





Il faut avouer qu’on a plus réellement besoin de présenter les illustrations comiques de Sarah Andersen. Qui ne les a jamais vues dans son fil d’actualité Facebook ou twitter ?
« Les adultes n’existent pas » est la première BD de l’illustratrice enfin publiée en France !

Dans cette petite BD (une centaine de pages seulement), Sarah Andersen retrace le quotidien d’une « jeune » adulte faisant face à la réalité. A sa manière, elle démontre que l’on garde tous une part d’enfant en nous.
Que ce soit d’un point de vue individuel, de la société ou les relations sociales, beaucoup de scènes retransmettent fidèlement notre sentiment au quotidien. Personnellement, je m’y suis retrouvée plus d’une fois dans ces petites scènes hilarantes.

Évidemment, Sarah Andersen se fait plaisir à « démonter » l’image idéale que l’on se fait d’un adulte autonome et responsable. Grâce à son humour et sa perspicacité d’esprit, cette BD est tout simplement divine ! Certes, les dessins sont enfantins, mais après tout, est-ce que cela ne démontre pas ce que l’auteure tente de prouver dans sa première publication ? Oui chers lecteurs, LES ADULTES N’EXISTENT PAS ! Nous sommes tous de grands enfants en quête de reconnaissance.
 





GLOBALE: 8 / 10
DESSINS : 4 / 10
SCENARIO: 10 / 10
PERSONNAGES: 10 / 10







samedi 20 mai 2017

Re/Member #7



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   GENRE : Manga / Seinen / Horreur / Fantastique
ÉDITION : Ki-oon
NOMBRES DE PAGES : 208
PUBLIE EN : 2014 (Japon)
DATE DE L’ÉDITION : avril 2017
TRADUCTION : Jean-Benoît Sylvestre
TITRE ORIGINAL : カラダ探し- Karada Sagashi
AUTEURS : Welzard & Katsutoshi Murase
PRIX : 7€65


CHRONIQUES PRÉCÉDENTES



http://skoldasybooks.blogspot.fr/2016/02/remember-1.html  http://skoldasybooks.blogspot.fr/2016/05/remember-2.html   http://skoldasybooks.blogspot.fr/2016/08/remember-3.html  http://skoldasybooks.blogspot.fr/2016/09/remember-4.html
 Couverture Re/Member, tome 5  Couverture Re/Member, tome 6









" La dixième nuit, Rié, Asuka et Takahiro parviennent à placer la jambe droite dans le cercueil. A présent, il ne leur reste plus qu'un seul morceau de corps à retrouver... Mais en tentant 'entrer dans le studio, ils découvrent à leurs dépens que le comportement de la Rouge-Sang devient encore plus meurtrier lorsqu'on a le malheur de toucher à sa peluche !

Convaincu que la tête de Haruka se trouve à l'intérieur. Kenji réussit a persuader le reste du groupe. Le jour suivant, c'est donc bien décidé à en finir avec ce jeu macabre et armés d'une stratégie nouvelle que les adolescents démarrent la partie..."







Voici, la conclusion du premier arc de la saga. Je la connaissais évidemment grâce au roman paru chez lumen (voir ma chronique), mais la lecture m’avait laissé un goût amer. Contrairement au manga, le visuel aide beaucoup dans la sensation de nos émotions ! 


Dans ce tome, les six adolescents ont établi leur plan pour récupérer la dernière partie du corps d’Haruka : sa tête cachée dans la peluche de la Rouge-Sang. Chacun est assigné à une tâche pour parvenir à mettre le dernier morceau dans le cercueil, mais la colère de Miko est si terrible qu’ils ont du mal à lui tenir tête (sans mauvais jeu de mots)

L’action s’enchaîne dès le début sans relâcher un seul instant prise sur le lecteur. Que ce soit dans la dernière ligne droite de la chasse au corps ou vers la fin, quand on obtient enfin toutes les réponses.
Asuka comprend alors l’enjeu qui lui fait dorénavant face avec amertume.
Personnellement, je ne pouvais pas espérer mieux pour clore une saga.
Évidemment, ce n’est qu’une partie remise, car le dernier chapitre de ce septième tome débute sur un nouvel arc de la saga.

En conclusion, la fin du premier arc de « Re/Member » est une vraie apothéose d’action, d’hémoglobine et de réponses pour les lecteurs qui se languissaient depuis un an.
Mais la malédiction de la Rouge-Sang n’est pas encore terminée, puisque le 8ème tome entamera un second arc, je l’espère tout aussi captivant !
 





GLOBALE : 10 / 10
DESSINS : 10 / 10
SCENARIO : 10 / 10
PERSONNAGES : 9 / 10
SUSPENS :10 / 10


COUP DE COEUR !
 


mercredi 17 mai 2017

TAG PKJ : Les belles couvertures



 
 


1) Quel livre de votre bibliothèque a, selon vous, la plus belle couverture?

Il est tout récent ! Il s'agit de "La Dernière Terre" de Magali Villeneuve. Une illustration faite par elle-même. Qui n'a pas envie de le lire après avoir vu sa couverture ?



2) Quel livre vous fait très envie à cause de sa belle couverture?

J'ai acheté le premier tome de cette saga, notamment pour sa couverture qui était fort alléchante. Mais la couverture du second tome est tout simplement merveilleuse ! Je parle bien évidemment "De velours et d'acier" de Georgia Caldera, dont la couverture a été créé par Fleurine Rétoré.  




3) Citer un livre dont la couverture française est, selon vous, plus belle que la couverture VO.

Je suis justement plongée dans le 3ème tome de la saga "Chroniques lunaires". Et je dois dire que "Winter" est bien plus belle en VF ! (à droite)

 

4) Citer un livre dont la couverture VO est, selon vous, plus belle que la couverture française.

 La saga "Sidhe" de Sandy Williams. Je trouve qu'elle a plus de classe en VO. (a gauche)


5) Citer un livre dont la couverture reflète parfaitement le roman.

 Je choisirais avec évidence "Le Carnaval aux corbeaux" d'Antheleme Hauchecorne.
Loïc Canavaggia a su recréer le monde farfelu avec précision. J'adore !
 


6) Citer un roman dont la belle couverture n'a aucun rapport avec l'histoire.


Je dirais "Au pays de l'ailleurs" de Tahereh Mafi. Ils auraient même dû garder la V.O qui avait un peu plus de sens aussi. 


7) Citer un livre avec une belle couverture minimaliste.

 "Avec tes yeux" de Sire Cédric. Simple mais vachement efficace ! 




8) Citer un livre avec un belle couverture qui a plein de détails.

Je choisis bien évidemment la couverture de Harry Potter en version illustré par Jim Kay.
Elles sont tellement sublimes et tous les petits détails qui nous immerge dans le monde parfait de J.K Rowling !





9) Citer un livre avec une belle couverture qui fait apparaître au moins un visage.

 "Féérines : Soeurs de sève" de Shealynn Royan, couverture créé par elle-même.
J'adore !!!



10) Citer un livre avec une belle couverture qui est majoritairement de votre couleur préférée.

 "Les chroniques de Hallow" de Marika Gallman dont la couverture a été créé par Miesis !
Il y a donc beaucoup de bleu (une de mes couleurs favorites) et j'adore tout simplement.





11) Citer un livre avec une belle couverture dont le visuel est un dessin.

Pouvais-je réellement passer encore une fois à côté de cette saga sans parler des somptueuses couvertures ??? NON !
Je parle bien évidemment de "Rose Morte" de Céline Landressie ,dont les trois premières couvertures ont été réalisés par Magali Villeneuve et qui sont tout simplement merveilleuse !!!

 


mardi 16 mai 2017

Shadow House #1 - La rencontre



 


 GENRE : Fantastique / Jeunesse
EDITION : Hachette
NOMBRES DE PAGES :224
 DATE DE PUBLICATION : 2016 (USA)
DATE DE L'EDITION : 22 mars 2017
LANGUE D'ORIGINE : Anglais
TITRE ORIGINAL : Shadow House #1 - The Gathering

AUTEUR : Dan Poblocki
TRADUCTION : Christophe Rosson
PRIX : 15€90





" Le manoir Larkspur.
Ils sont tous venus y chercher quelque chose.

Pour Poppy, une famille.
Pour Azuma, un pensionnat.
Pour Marcus, une école de musique.
Pour les jumeaux Dash et Dylan, un plateau de tournage.

Mais rien de tout cela ne les attendait.
Le manoir Larkspur n’est pas la maison de leurs rêves.
C’est la prison où leurs pires cauchemars deviennent réalité.

ENTRE DANS LA MAISON DES OMBRES… SI TU L’OSES. "





Aujourd’hui, je vous propose de découvrir mon avis sur « Shadow House : la rencontre » de Dan Pobloski. Il s’agit d’un roman fantastique jeunesse.
J’ai tout d’abord été intrigué par le résumé du livre et je ne fus aucunement déçue malgré mes péripéties du début. En effet, je me suis procuré une première fois ce roman, mais j’ai eu la malchance de découvrir une mauvaise impression à la fin du livre, où il manquait 7 ou 8 chapitres. Bref, la seconde fois fut la bonne et j’ai pu apprécier à sa juste valeur cette histoire !

Nous faisons la connaissance de cinq adolescents en quête de renouveau. Ils reçoivent alors une « invitation » pour séjourner au manoir Larkspur. Très vite, les jeunes gens comprennent qu’ils se sont fait manipuler et ont atterri dans une maison pour le moins étrange, où les cauchemars deviennent réels. Pourquoi leur a-t-on joué cette comédie pour être dans ce manoir ? Est-ce à cause de leur passé particulier ? Les réponses risquent de déplaire aux adolescents… Pourront-ils sortir indemnes de ce lieu maudit ?
Premièrement, le livre est tout simplement somptueux ! La couverture est une assez bonne entrée en matière concernant cet univers singulier. De plus, à l’intérieur de sublimes illustrations viennent enrichir le récit pour notre plus grand plaisir. 

Concernant les protagonistes, ils ont tous un passé très particulier. Je ne vais pas trop en dévoiler, vous laissant un peu de mystère si cette lecture vous intéresse.
Mais concernant Poppy, c’est une orpheline assez réservée qui va se montrer forte et courageuse à l’intérieur du manoir. Elle devient un peu la meneuse du groupe, chose impensable dans sa vie d’avant.
Azuma qui est d’origine japonaise est assez effacée pour l’instant du récit. J’espère que ce personnage sera plus exploité dans le second tome. Malgré la tragédie qui l’a touchée, elle désire au fond d’elle comprendre son passé pour pouvoir avancer. Le manoir risque de jouer avec ses émotions les plus intimes.
Marcus est un virtuose de la musique, doué depuis son enfance, il s’enferme à chaque instant dans sa petite bulle de confort. Mais son don va être remis en cause au sein de l’étrange maisonnée. Personnellement, c’est le personnage que j’ai trouvé le plus antipathique. Peut-être ce côté : « Moi Marcus, j’ai toujours raison. »
Puis nous avons les jumeaux Dash et Dylan. Deux acteurs en recherche d’un nouveau projet, ils se retrouvent ainsi à Larkspur. Leur histoire est certainement la plus intéressante, car je n’avais même pas anticipé une seule seconde ! Leur passé est le plus fascinant, où l’on vogue entre réalité et folie.

Deuxièmement concernant l’écriture de l’auteur, j’ai vraiment apprécié cette ingéniosité à lier le passé de ses personnages à cet étrange manoir. On ne connaît pas encore la réponse à ce lien, mais on sait que tout est lié. Il y a ce petit côté psychologique qui fait tout le charme de ce roman.
Nous sommes qu’au début de l’aventure, nous savons que le cauchemar des cinq adolescents ne fait que commencer pour notre plus grand plaisir. La chose que j’attends avec le plus d’impatience, c’est de connaître davantage le passé de Larkspur ! Pourquoi ces évènements se produisent-ils aujourd’hui ? Quel a été l’élément déclencheur ?

Je vous dirais simplement pour conclure que « La rencontre » nous dépeint le passé des protagonistes pour les emmener au sein de leur propre cauchemar, où le manoir Larkspur n’est qu’un reflet. Si les histoires de fantômes et de phénomènes paranormaux vous plaisent, « Shadow House » est fait pour vous !

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 GLOBALE : 7,5 / 10
ÉCRITURE : 7 / 10
SCENARIO : 8 / 10
PERSONNAGES : 7 / 10
SUSPENS : 8 / 10