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mercredi 26 juillet 2017

La maison bleu horizon



 

   GENRE : Fantastique
ÉDITION : Taurnada
FORMAT : Ebook / Epub
NOMBRES DE PAGES : 260
DATE DE L’ÉDITION : 29 juin 2017
LANGUE D'ORIGINE : Français
AUTEUR : Jean-Marc Dhainaut
PRIX : 9€99 (Papier) / 4€99 (Ebook)






Jean-Marc Dhainaut 

Jean-Marc Dhainaut est né dans le Nord de la France en 1973, au milieu des terrils et des chevalements. L'envie d'écrire ne lui est pas venue par hasard, mais par instinct. Fasciné depuis son enfance par le génie de Rod Serling et sa série La Quatrième Dimension, il chemine naturellement dans l'écriture d'histoires mystérieuses, surprenantes, surnaturelles et chargées d'émotions. Son imagination se perd dans les méandres du temps, de l'Histoire et des légendes. Il vit toujours dans le Nord, loin d'oublier les valeurs que sa famille lui a transmises. 





 

" Janvier 1985. Tout commence par un message laissé sur le répondeur d’Alan Lambin, enquêteur spécialiste en phénomènes de hantises. Une maison, dans un village de la Somme, semble hantée par un esprit qui effraie la famille qui y vit. En quittant sa chère Bretagne, Alan ignore encore l’enquête bouleversante qui l’attend et les cauchemars qui vont le projeter au cœur des tranchées de 1915. Bloqué par une tempête de neige, sous le regard perçant d’un étrange corbeau, Alan réussira-t-il à libérer cette maison de ce qui la tourmente ? "




Aujourd’hui, je vous propose de découvrir mon avis concernant « La maison bleu horizon » de Jean-Marc Dhainaut. Je tiens tout d’abord à remercier les éditions Taurnada pour m’avoir permise de découvrir leur nouveau roman. D’autant plus que je ne connaissais pas du tout la plume de l’auteur, j’ai apprécié découvrir son univers fantastique ! C’est un récit incroyable qui se mêle également avec l’histoire de la Première Guerre mondiale.

Nous suivons l’aventure d’Alan Lambin, un spécialiste en phénomènes de hantises. Après l’une de ses conférences, il se rend dans un petit village de la Somme où une famille a fait appel à lui, car ils pensent que leur maison est hantée par des esprits. Seulement, pour la première fois de sa carrière l’enquêteur va vite être dépassé par les évènements qui se déroulent au sein de cette demeure familiale.

Je suis une grande fan de roman fantastique, mais celui-ci m’a littéralement passionnée par le sujet traité. L’auteur nous transporte tout d’abord dans les années 1985, où Alan Lambin est dans les prémices des enquêtes paranormales. Son enquête va alors nous immerge au sein de la Première Guerre mondiale (1915 exactement) en suivant les mésaventures d’un militaire.
Depuis mon adolescence, je me suis penchée moi-même sur les phénomènes paranormaux. Je dois bien avouer qu’on ressent la recherche effectuée par l’auteur pour être aussi précise dans la façon de procédé. J’ai bien aimé découvrir les prémices des PVE (Phénomènes de voix électronique), j’avais l’impression d’être au milieu d’une enquête de « Ghost Adventures » ! La différence entre les deux, c’est évidemment la technologie. Aujourd’hui, elle nous permet aisément d’obtenir des preuves que ce soit sonore ou visuel, mais dans les années 1980, il était rare d’avoir une photo nette d’un esprit.
Bref, je ne vais pas trop m’étendre sur le sujet, mais l’auteur a certainement recueilli de nombreux témoignages publiés pour avoir une idée aussi précise des choses. 

Concernant le scénario, il est tout simplement bouleversant. Il s’agit d’une enquête passionnante où la frontière entre le réel et l’irréel se brise. Je ne m’attendais pas du tout à un tel retournement de situation vers la fin du roman, l’auteur nous a totalement bernés jusqu’au bout !
L’immersion par le biais des réminiscences nous aide à comprendre la globalité de l’histoire, elle nous permet de mieux saisir le phénomène de hantise qui se déroule au sein de ce village, mais plus précisément pour le foyer Annereaux.
J’ai beaucoup aimé le caractère d’Alan Lambin, un gentleman comme nous n’avons plus l’habitude d’en croiser de nos jours. Gentil, bienveillant et protecteur envers la famille Annereaux, il tente de les apaiser, alors que lui-même semble dépasser par les évènements qui se déroulent dans la demeure. Il essayait d’aider tout le monde, même si parfois il reçoit de la véhémence par certaines personnes.
Hélène Annereaux, la mère de la famille m’a été immédiatement antipathique, premièrement par sa façon de traiter la pauvre Mélanie, son employée. Mais ce qui est intéressant avec ce personnage, c’est que grâce à elle, on ressent toute la détresse et l’angoisse à laquelle est soumise sa famille.
Je n’en dirai pas plus sur les protagonistes, sauf que les enfants se comportent tous les deux étrangement, certes à cause des phénomènes étranges. Le comportement de Thomas semble indiquer qu’il y a autre chose qui se passe au sein de la maison.
Je ne vous parlerai pas plus des personnages pour vous laisser le soin de découvrir par vous-même.
Le style de l’auteur est précis, concis dans ses descriptions. On se laisse porter par sa plume au gré de son envie. 

Je vous dirai simplement que ce roman fantastique est une pure merveille que je recommande chaudement ! J’ai eu un vrai coup de cœur pour moi, car j’ai été happée par l’histoire et l’enchaînement des évènements, mais également pour les précisions des faits « paranormaux ». J’ai été bouleversée, j’ai frissonné, en somme un excellent roman. Vous avez envie de vous faire une légère frayeur au cœur de la nuit ? Alors, lisez « La maison bleu horizon » !




EXTRAITS

« Cette peur naturelle qu’il savait expliquer chez les autres, il la ressentait lui aussi. Il n’était pas toujours ce chasseur de fantômes sûr de lui, qui connaissait ses “proies” par cœur. Chaque être désincarné était différent, il le savait. Tapi dans le coin d’un grenier, d’une cave. L’épiant comme on épie une bête curieuse, discrètement, sans se manifester, en faisant tout pour faire croire qu’il n’y a personne dans cette maison, pas l’ombre d’un spectre. Alan ressentait cette peur, ces frissons. Il ne savait pas toujours ce qui pouvait arriver, comment se déroulerait une enquête, son issue. La plupart du temps, il parvenait toujours à apporter une explication rationnelle aux phénomènes, et ainsi rassurer les personnes qui pensaient leur maison hantée. Mais la plupart du temps, seulement. » — Chapitre 8
* * *
« Tous les fantômes ne hantent pas les maisons pour la même raison. Tous, sont là parce que quelque chose les retient : un choix personnel, une contrainte, une chose à finir, à dire, ou parfois même l’ignorance d’être mort. Mais il l’a toujours affirmé : il n’y a jamais de fantôme sans raison. » — Chapitre 7

GLOBALE : 9 / 10
ÉCRITURE : 8 / 10
SCENARIO : 10 / 10
PERSONNAGES : 8 / 10
SUSPENS : 10 / 10

COUP DE CŒUR !












 

lundi 24 juillet 2017

Six of Crows #2 - La cité corrompue



 



   GENRE : Fantasy / Jeunesse
ÉDITION : Milan
NOMBRES DE PAGES : 650
PUBLIE EN : 27 septembre 2016 (USA)
DATE DE L’ÉDITION : 24 mai 2017
LANGUE D'ORIGINE : Anglais
TITRE ORIGINAL : Six of Crows #2 - Crooked Kingdom
AUTEUR : Leigh Bardugo
TRADUCTION : Anath Riveline
PRIX : 17€90





 CHRONIQUE PRECEDENTE

http://skoldasybooks.blogspot.fr/2016/10/six-of-crows.html





" Revenus diminués du palais de Glace, Kaz, Inej, Nina, Matthias, Jesper et Wylan doivent de nouveau se battre pour leur survie.
Alors que la menace du jurda parem pèse plus que jamais sur Ketterdam, le jeune homme et son équipe, doublés par Jan Van Eck, trahis par les leurs, pourchassés par tous les gangs du Barrel, se retrouvent sans ressources ni alliés.
Ketterdam devient alors le théâtre de leur plan le plus ambitieux : prises d'otages, spéculations crapuleuses, cambriolages, enchères truquées, tortures et menaces en tout genre... Pour Kaz et son gang, la liberté a un prix, et pourrait bien leur coûter la vie."

VENGEANCE. COMPLOT. TRAHISON.

Une mission sépare Kaz et ses complices de la liberté.
Une mission pour survivre, devenir riches et obtenir la gloire.
Une mission au cours de laquelle tout Ketterdam se dresse contre eux.

VIOLENCE. ALLIANCE. REDEMPTION.

Une partie mortelle. Six destins.
Quand les dés sont truqués, ils changent les règles du jeu...




/!\ RISQUE DE SPOILERS /!\

Il était temps pour moi de vous donner mon avis sur le second tome de « Six of Crows » ! Cette duologie est tout simplement incroyable. Mon cœur a palpité au gré des aventures de ses six bandits au cœur tendre. « La cité corrompue » marque la vengeance terrible de Kaz Brekker pour notre plus grand bonheur.

Nous avions laissé nos protagonistes en pleine détresse, trahie par le marchand Van Eck. Les membres des Dregs n’ont plus qu’une seule idée en tête : libérer Inej des griffes de leur ennemi. Le leader Kaz Brekker n’hésitera pas à aller le plus loin possible pour obtenir réparation et vengeance. Quand son rival de toujours, Pekka Rollins se joint à la partie contre Van Eck, les dégâts collatéraux seront malheureusement inévitables…

Ce second tome fut vraiment un pur délice, pas très loin du coup de cœur. Dans le premier tome, j’avais eu un peu de mal à m’immerger dans cet univers atypique, mais désormais familière du style de l’autrice, je l’ai apprécié d’un bout à l’autre. D’autant que dans « La cité corrompue » chaque personnage évolue de façon positive ! Même si leur condition peu recommandable fait d’eux des êtres en marge de la société, ils tentent de reprendre le contrôle de leur vie.
Kaz Brekker adjoint des Dregs est plus en colère que jamais à la suite de son échec. Bien évidemment, sa vengeance n’en sera que plus brûlante, perfide et préparée dans les moindres détails. À tel point, que je fus encore une fois surprise par son ingéniosité face à l’adversité ! On retrouve pourtant du positif en lui, il provient sans conteste grâce au personnage d’Inej. Leur attirance mutuelle les poussent à se dépasser et à surmonter leurs peurs.
Inej Ghafa prise en otage par le marchand Van Eck, essaie malgré sa condition de s’évader. Bien que son ennemi tente à la faire douter de la venue de Kaz, elle ne perd pas espoir. Elle garde une foi inébranlable pour le mystérieux jeune homme qui ne laisse aucunement ses émotions transparaître. Son rêve est de retrouver sa liberté et condamner les trafiquants d’esclaves. Mais avant cela, elle a encore une dette envers son sauveur.
Jesper Fahey est toujours tourmenté par sa consommation excessive au jeu de hasard. Pourtant, il va devoir faire face à son père et lui révéler ses véritables activités au sein des Dregs. Sa relation avec Wylan est très touchante, ces deux personnages arrivaient à m’émouvoir. Il doit également combattre sa propre nature, s’accepter tel qu’il est et non comme son père aurait voulu le préserver des Grishas.
Wylan Van Eck possède encore les traits de Kuwei, tente pourtant à devenir quelqu’un d’autre. Il considère peu à peu ses nouveaux amis comme une famille qui l’accepte malgré ses défauts. Il apprendra au court du récit que les méfaits de son père sont encore plus grands qu’il ne l’imaginait au départ. Pour cela, il reçoit du soutien de la part de ses amis. Il n’hésitera plus à lutter contre son paternel, exécutant volontiers le plan diabolique de Kaz.
Nina Zenik qui était sous l’effet de Jurda Parem a su le combattre. Même si les effets se font encore ressentir en elle, elle essaie de surmonter ce manque. Petit à petit, elle découvre que ses pouvoirs ont pris une nouvelle dimension qu’elle était loin d’imaginer. Ses ennemis n’ont qu’à bien se tenir, car désormais elle n’hésitera pas à les utiliser pour sauver ses amis. Elle tentera également d’aider tous les Grishas de Ketterdam. Comme les autres, son principal soutien provient de Matthias. Ce grand blond au cœur tendre qui est prêt a tout pour elle.
Matthias Helvar a bien évolué au sein de ce groupe atypique. Il arrive à imposer ses décisions lors des batailles. Jesper reconnaît ses qualités de chef et de combattant, il le respect d’autant plus. La principale obnubilation du Fjerdan est toujours Nina. Il est prêt à se sacrifier pour elle.

Égale à elle-même, Leigh Bardugo nous offre avec « La cité corrompue » une franche évolution pour ses personnages emblématiques. Son style d’écriture est toujours aussi riche et travaillé, bien que par moment, j’ai trouvé certaines scènes très longues et inutiles. Il faut dire que je n’ai pas une âme très fleur bleue, donc les rapprochements entre les protagonistes sont parfois assez agaçants pour moi. Je dois bien avouer que la fin du livre fut touchante, magique et grandiose. J’ai pensé que ces personnages allaient vraiment me manquer. Grâce à l’autrice, j’ai pu voyager dans une ville diversifiée, sombre et cruelle. Elle a su faire de Ketterdam un personnage de son roman à part entière. Finalement, ce ne sont pas les six adolescents les héros, mais Ketterdam elle-même. Elle combat les inégalités, fait naître des créatures pour pouvoir tourner la roue du destin dans un autre sens. Elle arrive toujours à renaître de ses cendres malgré l’adversité qui l’habite et les démons qui s’y nichent. C’est le point le plus important qu’on a pu apercevoir dans ce tome.

Je dirais simplement pour conclure que « La cité corrompue » fut une lecture riche en révélations concernant les personnages, l’intelligence de Kaz Brekker et son plan machiavélique nous a portés tout le long du roman. Une duologie que je vous conseille fortement pour ceux qui apprécient les romans de fantasy atypique avec des héros peu communs !



EXTRAITS


« Disparus Dirtyhands et Kaz Brekker, envolé le plus cruel lieutenant des Dregs. Il n’était plus qu’un gosse habité d’une rage noire dont la flamme ardente menaçait de dévorer le vernis de civilité avec lequel il s’enduisait. » - Chapitre 12

* * *

« Ma mère, c’est Ketterdam. Elle m’a enfanté dans le port. Mon père, c’est le profit. Je l’honore tous les jours. Revenez avant la tombée de la nuit ou ne revenez jamais. Tous les deux. J’ai besoin de coéquipiers, pas de sentimentaux.
Kaz tendit l’argent du voyage à Wylan. » - Chapitre 14

* * *

« - J’ai reçu des balles, des coups de couteau et des coups de poing pour chaque parcelle de cette ville que j’ai gagnée. C’est la ville pour laquelle j’ai saigné. Et si Ketterdam m’a bien enseigné quelque chose, c’est qu’on peut toujours saigner encore un peu plus. » - Chapitre 25 (Kaz)

* * *

« - Tu me le paieras, Brekker. Et jamais tu ne t’acquitteras de cette dette. Tes souffrances ne prendront jamais fin.
Kaz soutint le regard de Pekka.
- La souffrance, c’est comme tout le reste. Quand tu vis avec depuis assez longtemps, tu apprends à en apprécier le goût. » - Chapitre 37




GLOBALE : 9 / 10
ÉCRITURE : 10 / 10
SCENARIO : 8 / 10
PERSONNAGES : 10 / 10
SUSPENS : 7 / 10








jeudi 13 juillet 2017

Walking Dead #11 - Les Chasseurs



 

GENRE : Horreur / Post-apocalypse
ÉDITION : Delcourt
NOMBRES DE PAGES : 137
PUBLIE EN : 2009 (USA)
DATE DE L’ÉDITION : 2010
LANGUE D'ORIGINE : Anglais
AUTEURS : Robert Kirkman et Charlie Adlard
TITRE ORIGINAL : Walking Dead #11 - Fear the Hunters
TRADUCTEUR : Edmond Tourriol
PRIX : 14€95





" Rick et ses compagnons, rejoints par le trio de l'ex-sergent Abraham, tentent de rallier Washington, le lieu où, selon Eugène Porter, tout aurait commencé. Sur la route, le groupe se sent épié, et ce n'est pas la rencontre fortuite d'un révérend qui va les rassurer. Réfugiés dans une église, la paranoïa s'installe. Pire que les zombies, les cannibales... Cette odyssée de la survie atteint un nouveau stade dans l'horreur. Cernés de toutes parts, les survivants devront sacrifier une partie de leur humanité pour survivre.






/!\ RISQUE DE SPOILERS /!\


On peut dire que ce onzième tome sombre dans les pires travers de l’humanité. « Les Chasseurs » est certainement le tome le plus sombre que j’ai pu lire jusqu’ici. Robert Kirkman n’a pas hésité à démontrer qu’un homme aux abois est encore plus dangereux.


Dès le début du tome, le groupe de survivants doit faire face à une crise de grande ampleur. Seulement aucun des adultes présents n’est capable de commettre cet « acte » alors que plusieurs d’entre eux pensent que cette « personne » représente un danger. Cela leur donne-t-il le droit de perpétrer un meurtre pour se protéger ?
Ils ont ainsi encore une part de « bonne » conscience, mais quand ils vont croiser la route d’un autre groupe qui se fait appeler « les chasseurs », la réalité va se faire brutalement… Pour survivre, il faut parfois être prêt à réaliser les pires atrocités.


Ce tome évoque un grand tournant d’un point de vue moral. En effet, on a toujours vu Rick se débattre avec sa propre conscience pour rester dans le droit chemin. Entre la perte d’être cher et la vie apocalyptique qu’il vit à présent, il va devoir laisser certaines de ses convictions au placard. Surtout quand ce groupe effroyable va s’en prendre aux siens, à ceux qu’il considère désormais comme sa famille.
Ils ont été poursuivis par des monstres, mais dans ce tome, ils n’ont plus le choix d’en devenir également. Rick fait preuve de dureté, de détermination et animé par la vengeance. Il est soutenu par Andrea, Michonne et Abraham.
Je n’ose pas trop parlé du scénario, car je risque de « spoiler » un peu trop, mais le thème qui prédomine ce tome est le « cannibalisme ». C’est ce qui rend l’horreur humaine dans laquelle les protagonistes se trouvent. Le choix est ainsi plus facile à accepter pour nous : lecteurs. Mais quelles seront les conséquences ? Auront-ils des regrets ou feront-ils partie des hommes en marge de la société parce qu’ils ont vécu trop longtemps parmi les rôdeurs ?
Des questions que l’on trouvera certainement très vite dans les prochains numéros.


En conclusion, « les chasseurs » est un tome plus sombre que ces prédécesseurs. Il marque un tournant dans la vie des survivants, mais le prix à payer risque d’être difficile à supporter…
 



GLOBALE: 10 / 10
DESSINS : 9 / 10
SCENARIO: 10 / 10
PERSONNAGES: 10 / 10
SUSPENS : 10 / 10


                                                                   COUP DE COEUR!